Pendant ce temps au Vénézuela la vie demeure pittoresque-un euphémisme pour ne pas parler de la misère quotidienne-des vestiges d'années meilleures sillonnent encore les rues de toutes les villes-ces vieiles américaines sont, en réalité des por puestos-taxis collectifs que l'on peut prendre pour 2 bolivars-malheureusement, le commun des mortels à l'ère chaviste a peur pour sa sécurité-on dit qu'il meurt plus de jeunes hommes vénézueliens par année que le total des morts de la guerre en Irak (accidents de la route -ne pas conduire soi-meme là bas----il ne s'agit plus seulement de piraterie au large à laquelle sont soumis les navigateurs jugés comme étant des personnes riches par le gouvernement chaviste qui ne protège absolument pas les eaux territoriales de ce fléau-lorsqu'un étranger meurt aux mains des malfrats, que ce soit à terre ou en mer on dit-c'est un tourisme de riches "prenez l'argent là où il se trouve-nous n'en avons rien mais rien à f......" pendant mon séjour à Bahia redonda, une Suisesse a été assassinée près du portail de cette enclave pour quelques bolivars un vendredi soir...je me faisais engueler par les pirates si je sortais du chantier passé la tombée du jour-Olivier, s'il était rentré avant moi, revenait me chercher-les autres allaient du chantier à la Marina de BR en dinghy.
Meanwhile in venezuela life continues sometimes rather picturesque-these old american models are, in reality collective taxis cost 2 bvs- unfortunately, ordinary people are also afraid for their own security-it is said that as many young men die in venezuela per year as in the war in Irak-traffic accidents and gang warfare +innocent bystanders-where piracy is still a major issue because boaters are considered as rich tourists and money should be grabbed where it happens to be, people are also being killed for pennies ashore-a swiss woman was killed right outside our compound one friday night a half hour after I'd come back from the yard-the pirates gave me holy hell if I ventured outside the yard to get to the compound after dark-they'd ride me back in their dinghies and Olivier would come back for me when he'd gone before I was ready.

A Botanica a kind of religious pharmacy where the Indio shares space with Virgins and other minor figurines all of whom possess guaranteed powers...I was offered a prayer card by the India Tibisay, a local living deity who smoked a cigar and watched it's ashes fall off in order to tell my fortune (she saw the PIRATES!!!!)and guaranteed my powers of seduction over ANY MAN!!!!
Every other day I power walked up El Morro where I'd originally thought I could have paraglided but the winds, as later in martinique, were too strong unusual for the dry season.
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